L’autre jour j’ai écouté un documentaire nommé « Toi et moi, Laos. », présenté dans le cadre du mois sur le patrimoine asiatique canadien sur Radio Canada. Il mettait en vedette des organismes et des gens dévoués qui avaient sauté le pas pour changer le monde à leur manière.
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Cet article et ce podcast est paru originalement sur Getlostinasia.com |
Le bénévolat et les organismes à but non lucratif sont essentiels pour offrir un soutien aux populations dans le besoin qui n’ont aucune autre ressource disponible. C’est dans cet esprit que, lorsque c’est possible, je partage le travail extraordinaire des gens qui de leur propre chef décident de donner un coup de main et de changer un petit peu le cours de l’histoire. Être volontaire en Asie du Sud-Est vous intéresse ? À la fin de cet épisode, je vous propose un petit guide rapide pour vous aider. Le bénévolat en Asie, avec qui, comment et pourquoi vous devriez le faire.
Il y avait un organisme nommé « Puit au laos » qui récolte des dons et construit des puits pour rendre l’eau potable accessible à des centaines de villageois privés de cet élément essentiel à la vie. Cet organisme qui œuvre depuis des dizaines d’années est dirigé par l’Abbé Gérard Dionne. Il se dévoue pour les communautés laotiennes du Canada et au Laos depuis plus de 35 ans. J’ai tenté de joindre cet organisme pour une entrevue, mais malheureusement il semble que l’Abbé Dionne est près de la retraite et il n’est pas très branché internet. Je vous invite tout de même à visiter leur site web et à visionner le reportage qui est mentionné dans la section liens au bas de ce billet.
Dans le même reportage, il y avait un autre organisme nommé « School for Kids in Laos », un projet créé par une famille lao-canadienne ordinaire du Manitoba. Tout ça a germé rapidement après avoir visité leur pays d’origine, quand les enfants de la famille ont vu à quoi ressemblaient certaines écoles de la campagne du Laos. Ils ont demandé ce qu’ils pouvaient faire pour aider et redonner un peu de la chance qu’ils avaient d’avoir de si belles écoles au Canada.
Selon le Journal Le Monde
Malgré sa capitale Vientiane et ses 7 millions d’habitants, le Laos est le pays le plus pauvre d’Asie du Sud-Est. Le pays est en pleine explosion et se développe à une vitesse accélérée. Les villes grandissent très vite, mais les infrastructures ne suffisent pas. Des quartiers entiers de Vientiane (750 000 habitants) ne sont pas desservis en eau potable. La République démocratique populaire du Laos s’est fixé pour objectif d’alimenter en eau potable 80 % de la population d’ici à 2020. Le tout sera réalisé grâce à un mélange d’investissements privés soutenus par l’aide internationale.
À propos de SKL
« School for Kids in Laos » a vu le jour en 2007, créé à l’initiative d’une famille winnipegoise et d’un groupe d’anciens camarades d’école habitant aujourd’hui les quatre coins du monde. Depuis 2009, l’organisme de bienfaisance est inscrit au registre de l’Agence du Revenu du Canada. Leur administration est purement bénévole et assure que la totalité des dons est affectée à leur mission : construire des écoles dans les régions défavorisées de la campagne laotienne.
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J’ai réalisé une entrevue avec trois membres du conseil d’administration de l’organisme. En 7 ans, ils ont construit 4 écoles et la campagne de financement pour la dernière et presque terminée. Il s’agit d’une école secondaire qui accueillera des centaines d’étudiants. Si vous aimez l’Asie du Sud-Est et le Laos, donnez-leur un coup de main.
Voici des extraits textuels de l’entrevue avec les gens de School for Kids in Laos :
« Quand tu es sur les lieux, il n’y a rien qui peut équivaloir à ça. Lorsque tu es en contact avec les jeunes, les familles et les enseignants, tu vois qu’ils sont reconnaissants. Ils sont étonnés de voir que des gens de l’étranger pensent à eux et qu’ils leur font un cadeau comme ça. Pour eux, c’est presque impensable. Plusieurs d’entre eux ne savent même pas où est le Canada. »
« L’eau potable, c’est toujours un problème, parce qu’il y a beaucoup de gens qui doivent se rendre aux rivières. C’est pour ça d’ailleurs que nous avons un volet dans nos projets qui permet aux gens du village d’obtenir de l’eau potable. Un puits pour tous les gens autour de l’école et des toilettes sanitaires. Les donateurs sont très sensibles à l’idée de savoir qu’en 2014 des gens ont des difficultés à avoir accès à de l’eau. »
Comment choisissez-vous vos projets, les endroits, les villages ?
Le projet choisi doit répondre à certains critères.
- Il doit être situé dans une région rurale.
- Dans un village, pas dans pas une ville.
- Un système scolaire existant doit être en place.
- Un site avec une école et les conditions physiques du bâtiment scolaire doivent être irréparables.
- Les villages doivent être des villages qui grandissent, pas des villages mourants.
« On a des papiers à signer. Il y a une entente écrite, je ne sais plus en combien de langues, mais au moins en 2 langues : lao et anglaise. L’entente est signée, et même souvent écrite à la main. Pour eux c’est important d’écrire à la main. De là, nous on s’arrange pour prendre des photos, des vidéos pour corroborer et comme preuve pour être certain que tout le monde est témoin. »
« À partir de là, School for Kids in Laos va faire son possible, sans pour autant garantir qu’on va amasser l’argent nécessaire pour construire une école. On essaie de créer un échéancier pour s’assurer qu’on ramasse les sous dans un délai respectable. Des fois, ça prend 2 ans en fonction de l’ampleur du projet. Une fois seulement que l’on a tout l’argent, on fait des démarches auprès de l’entrepreneur qui a été visiter le site et s’est entendu avec les gens du village pour avoir leur collaboration. Fixer les délais pour amasser certains matériaux à proximité comme : du sable, des cailloux, etc. Pour nous, c’est très important de le dire : tous les dons faits par les gens vont directement, sans intermédiaire, à l’école. Il n’y a pas de pourcentage qui va ici et là, tous les dons vont dans le projet. »
« On a fait des demandes de subvention qui nous permettent de ramasser tous les sous pour quelques petits frais administratifs. Tous les bénévoles impliqués dans les projets, s’ils sont appelés à se rendre sur les lieux comme au Laos, c’est à leurs propres frais et leur propre discrétion. Il n’y a pas d’argent de l’administration qui est utilisé pour ça. »
Merci encore à SKL.inc, n’oubliez pas de les appuyer si vous avez l’Asie et les enfants à cœur.
Voici les liens relatifs à cet épisode :
Puit au laos
Documentaire Toi et moi Laos
School for Kid in Laos
Guide comment devenir volontaire ou bénévole en Asie du Sud-Est !
Prendre une année sabbatique et faire du volontariat à l’étranger est devenu de plus en plus populaire. Tous les enfants aventuriers de bonne famille le font, et il y a un nombre croissant de personnes qui font une pause dans leur carrière pour se consacrer un bout de temps au bénévolat.
En raison de cette forte demande, les agences de promotion de volontarisme international sont de plus en plus agressives à promouvoir le volontarisme à l’étranger.
Vous êtes bombardé de publicité par beaucoup d’organisations différentes. Il n’est pas toujours bon de s’appuyer sur un nom « cool » et un nouveau site web tendance pour faire son choix. Rien de ceci ne pourra garantir la crédibilité d’une organisation.
Il y a des bonnes agences, des organismes sérieux, mais il y en a également des moins bonnes pour ne pas dire nuisibles. Rappelez-vous le film « Slumdog Millionnaire » dans lequel des malfrats récupèrent les enfants de la rue pour les faire mendier à leur profit. Le business de la misère, c’est beaucoup d’argent dont peu de gens vérifient la provenance et les vraies utilisations.
Certains des gros joueurs de l’aide humanitaire ont beaucoup de frais d’administration et d’opération, à peine 10 % de l’argent atteint la cause sur le terrain. Plus le pays est pauvre, moins le gouvernement est organisé, plus il y a de gens désespérés ou de profiteurs du système étranger qui viennent se remplir les poches. Ce ne sont pas tous de mauvais organismes, mais il faut garder l’œil ouvert et suivre quelques conseils de base.
Cela ne signifie pas que vous devriez voir le « bénévolat » comme une autre chose à faire à tout prix en Asie du Sud-Est. Ce n’est pas comme aller au musée ou faire un tour de la ville, on doit s’y dédier et y croire pour le faire, sinon oubliez ça et allez prendre un verre de vin au bistro.
Avant de vous décider à être bénévole, vous devez réfléchir à ce que vous pouvez offrir.
Combien de temps êtes-vous prêt à vous engager ?
Faites vos recherches sur le type d’organisation dans laquelle vous voulez vous impliquer.
Pour commencer, vous aurez besoin de réfléchir sur le type de bénévolat auquel vous souhaitez prendre part.
Êtes-vous particulièrement bon avec les enfants ?
Voulez-vous vous salir les mains avec quelques travaux de conservation ? ou vous voyez-vous comme professeur d’anglais ?
Vous pouvez faire du bénévolat sur une grande variété de projets et une myriade de destinations passionnantes. Si vous cherchez à acquérir une certaine expérience de travail, aider les autres moins chanceux que vous, ou tout simplement découvrir une nouvelle culture, il y a sûrement un projet qui saura remplir les critères et les intérêts que vous cherchez à réaliser.
Les projets bénévoles les plus courants sont :
Enseignement
Aider à enseigner aux enfants ou aux adultes dans toutes les destinations. Les sujets couverts vont de l’anglais parlé à l’art et la musique.
Soins
Se porter volontaire pour s’occuper des enfants et des personnes handicapées dans les orphelinats et les foyers de soins à travers le monde.
Médecine & Santé
Acquérir de l’expérience en médecine, physiothérapie, soins infirmiers, sages-femmes ou la dentisterie dans les hôpitaux et cliniques du monde entier.
Conservation et environnement
Se servir de ses mains pour tout une gamme de projets, impliquant la conservation des plantes et des animaux, l’agriculture durable et autres activités écologiques.
Projets communautaires
Volontaire sur l’un des nombreux projets communautaires comme les arts, l’artisanat et les projets de construction durable.
Sportif
Bénévole sur un programme sportif comme être entraîneur de football, de rugby, de volley-ball, de basket-ball et autres sports.
Journalisme
Gagner de l’expérience sur le terrain avec un stage dans une rédaction de journal, de magazine, une station de radio ou de télévision.
Entreprise
Gain d’expérience avec un stage en finance, en publicité, en marketing, en informatique, en tourisme et dans de nombreux autres domaines.
Loi & droits de l’homme
Gagner de l’expérience sur les droits et les lois internationales, par exemple les droits de l’homme en Chine.
Archéologie
Acquérir de l’expérience de terrain en archéologie expérimentale, les fouilles et la conservation historique.
Vétérinaire et protection des animaux
Médecine vétérinaire et protection des animaux, expérience pratique de travail avec les animaux.
Cours de langue
Enseigner une nouvelle langue ou améliorer les compétences linguistiques de vos élèves. Vous pouvez enseigner le français, l’espagnol, le russe, le portugais, l’arabe, et bien d’autres langues.
Fonctionnement
Certaines organisations exigent des frais exorbitants qui devraient comprendre les dépenses alimentaires et de location d’espace pour dormir. D’autres programmes n’ont pas de frais initiaux ; il vous suffit de vous y rendre.
1. Assurez-vous de planifier à l’avance et considérez combien de temps vous pouvez investir.
2. Pensez aux compétences que vous avez à offrir à une organisation.
Êtes-vous particulièrement bon pour l’enseignement ? Êtes-vous bien avec les animaux ? Commencez votre recherche en fonction de ce que vous avez à partager.
3. Prenez contact avec l’organisation choisie, d’avance, et posez des questions.
4. Lire et relire l’information en ligne.
Non, chaque programme de bénévolat ne fonctionne pas pour tout le monde et de la même manière. Certains bénévoles désirent un réseau de soutien 24 heures sur 24 et d’autres préfèrent être plus indépendants. Pensez au type d’encadrement qui vous permettra d’assurer une expérience plus réussie.
5. Réfléchissez bien si le rôle que vous avez été invité à faire pour une organisation sera une bonne expérience pour vous.
6. Quand vous entrez en contact avec une organisation, posez des questions sur leur politique en place.
Un bon moyen de savoir et de vérifier si un projet est fiable et de s’assurer qu’il existe depuis un certain temps. Regardez les commentaires sur les sites web de voyage indépendants. Il est également intéressant de regarder la page Facebook de l’organisation.
7. Un organisme bénévole sérieux voudra vous poser des questions sur vous ! Méfiez-vous s’ils acceptent facilement votre aide sans vérifier vos informations.
8. Si l’organisation exige des frais de projet au volontaire, assurez-vous de demander comment ces frais sont utilisés.
9. Découvrez ce que vous pouvez au sujet de la culture du pays avant d’arriver. Soyez ouvert aux coutumes et aux traditions locales, habillez-vous de façon appropriée, et apprenez un peu de la langue du pays.
10. Pendant que vous êtes dans la communauté, essayez de soutenir l’économie locale en achetant des produits locaux dans des magasins locaux. Mangez dans des restaurants locaux et en utilisant les transports locaux. Devenez un citoyen du quartier autant que vous le pouvez ! Respectez l’environnement en utilisant l’eau avec parcimonie, l’élimination des déchets (en particulier le plastique) de façon appropriée et recyclez tout ce que vous pouvez.
11. Dans certaines parties de l’Asie du Sud-Est, vous devrez faire preuve de vigilance en ce qui concerne la maltraitance des enfants et d’autres problèmes très graves. N’ayez pas peur de dénoncer une organisation si vous pensez qu’ils sont corrompus, ou pour signaler des actes répréhensibles. Alors que la plupart des personnes impliquées dans le soutien aux plus vulnérables sont authentiques, il y aura toujours une petite minorité qui peut exploiter la situation des gens faibles pour leur propre bénéfice.
12. Pensez-y à deux fois avant de donner de l’argent aux enfants qui mendient ou qui vendent des souvenirs. Donnez plutôt votre argent à des organisations qui travaillent pour améliorer leurs conditions à long terme.
13. Parlez de votre pays d’origine, en soulignant les aspects négatifs et positifs, ce qui aidera vos hôtes à mieux comprendre leur propre culture. L’éducation interculturelle est une manière pour les deux parties de tirer le meilleur profit d’une expérience de bénévolat.
14. Voir l’extrême pauvreté et la mort peut vous révéler plus fragile que vous ne pensez l’être.
15. Vous n’allez pas changer le monde en un seul projet.
- Accepter ce fait peut prendre un certain temps.
- Essayez de faire la différence sur une petite échelle. Vous ne pouvez pas sauver tout le monde, mais aider un peu est certainement possible.
- Accepter que le grand changement commence petit est la clé.
16. Tout le monde n’est pas forcément votre ami.
En tant que jeune volontaire étranger, il y a des habitants qui peuvent conspirer à vous arnaquer. Soyez vigilant avec gens que vous rencontrez dans la rue ou même des amis fraîchement débarqués dans votre cercle. Les zones rurales ne présentent pas de problème, mais les grandes villes où il y a beaucoup de touristes peuvent être plus dangereuses.
17. N’ayez pas peur de parler aux gens.
Chaque endroit est rempli d’habitants étonnants qui aimeraient discuter de la meilleure brasserie locale et du site historique le plus sous-estimé de leur ville. Les gens veulent naturellement partager avec les étrangers sur leur ville, leur pays, leur village ou sur le reste du monde et votre histoire.
18. Achetez de bonnes chaussures.
Peu importe où vous allez dans le monde, vous devrez marcher beaucoup. Achetez des chaussures de randonnée de bonne qualité, confortables et n’oubliez pas de les roder en avant de partir.
19. Apportez plus d’argent que vous ne pensez avoir besoin.
Vous ne savez jamais si une situation d’urgence peut vous arriver. Peut-être aurez-vous besoin d’une aide médicale, peut-être manquerez-vous votre vol de retour et devrez donc payer des frais de transport aérien. Avant de partir, pensez à mettre de côté un budget d’urgence.
20. À la fin, le bénévolat ne garantit pas un emploi, ou un visa.
Beaucoup de bénévoles viennent à l’étranger en pensant qu’ils vont se faire embaucher.
– N’oubliez pas la date d’expiration de votre visa de touriste.
– Si vous voulez vraiment rester plus longtemps, renseignez-vous auprès de votre programme, explorez vos options pour obtenir un permis de travail plus permanent.
– Les chances d’être embauché sont beaucoup plus élevées si vous y allez vous présenter en personne.
Bilan de fin de stage ou de bénévolat !
Ce que vous gagnerez en donnant sera inestimable.
Le bénévolat peut vous faire voir d’autres choses de vous-même que vous ne soupçonniez même pas.
La confrontation avec des situations extrêmes peut vous faire vous sentir vulnérable et vous faire pleurer. Partagez votre trop-plein d’émotions avec vos proches, vos collègues, vos responsables, prenez du recul et, tranquillement, vous allez revenir à la normale.
Apprendre à se connaître soi-même à travers l’exploration d’une culture étrangère fait partie du processus.
– Soyez prêt à regarder à l’intérieur de vous.
– Votre voyage sera aussi une découverte très personnelle et intime.
Le bénévolat à l’étranger est une expérience qui laisse une empreinte indélébile.
– Le retour à la maison ouvre une conscience qu’on n’a jamais vécu la misère humaine en pleine face. Le bénévolat est devenu une passion de toute une vie pour moi depuis.
Voici une liste d’organismes avec de bonnes réputations.
Une liste plus détaillée est disponible ici.
Volontariat avec les enfants, avec l’éducation comme trame de fond
• Le bénévolat avec Orphan Impact, travail auprès des orphelins au Vietnam.
• ConCERT Cambodia – « Connecting Communities, de l’Environnement et du Tourisme responsable » est une organisation sociale à but non lucratif basée à Siem Réap au Cambodge.
• WLS International – Language Studies Monde – bénévolat à l’étranger pour enseigner l’anglais au Cambodge, au Sri Lanka, en Chine, en Inde, au Népal, en Thaïlande et au Vietnam.
• PURE ! Volunteer – PURE ! met l’accent sur l’accroissement des possibilités pour les enfants, les adolescents et les mères au Cambodge et en Indonésie en offrant de l’éducation et de la formation gratuite. PURE ! conseille également sur le Voyage responsable et le bénévolat.
• Interweave Cambodia international Exchange est une organisation à but non lucratif qui favorise la compréhension et la sensibilisation interculturelle grâce à des programmes de bénévolat au Cambodge.
• Globalteer un organisme de bienfaisance basé au Royaume-Uni qui fournit du placement bénévole à l’étranger dans des orphelinats, des écoles, des projets communautaires en Asie et en Amérique du Sud.
• In Search of Sanuk – Utilisant le mot thaï pour le plaisir, « sanuk », l’Américain Dwight Turner, vous met au défi de créer votre style de vie en collaboration avec les enfants de la rue à Bangkok. Suivez Dwight sur Twitter: InSearchOfSanuk
• CHA – L’Association cambodgienne d’artisanat (Vue sur Aide pour le commerce) – CHA vise les mines terrestres, la polio et à réinsérer les handicapés dans la société.
• Une organisation non gouvernementale qui opère dans le village de Chiro, à 5 km de Kampong Cham et qui est gérée uniquement par du personnel cambodgien. OBT permet aux jeunes défavorisés Cambodgiens de la campagne d’obtenir des cours gratuits d’anglais et d’accueil, afin de faciliter leur futur emploi et de leur donner la chance d’accéder à l’enseignement supérieur. Ils offrent des maison-séjours et du bénévolat – www.obtcambodia.wordpress.com Volunteering bénévolat avec des animaux.
• Lanta Animal Welfare – bénévolat avec des animaux errants dans Koh Lanta, Thaïlande – chien
• Dutch organization, Bring the Elephant Accueil Charité et thailandaise dont le siège Le projet Surin – la conservation de l’éléphant en Thaïlande, Les travaux de conservation
Travaux de conservation
• Ferme de M. T organique, Vang Vieng au Laos – travail à la ferme www.laofarm.org
• Consciente Farm, Chiang Mai, Thaïlande
• Rak Tamachat Natural Living Farm, Ferme biologique, à Sikhiu en Thaïlande pour vivre avec la nature, aider à développer des moyens naturels de vie durable, et partager avec les autres. http://www.raktamachat.org/
Travaux médicaux
• The AIPNO est une société indienne de bénévolat à la recherche de personnes intéressées à aider avec une mission médicale en milieu rural. Pour contacter directement le président de l’AIPNO, Dr Jaya Shah : [email protected].
Autres ressources
• Help Exchange – est une liste d’échange en ligne pour des séjours à la ferme, les hôtels et même des bateaux à voile qui invitent les bénévoles à rester en échange de nourriture et d’hébergement.
• Nerdy Nomad – A.K.A. Kirsty Henderson est une bénévole transformée qui a travaillé dans les zones sinistrées partout dans le monde. Vous pouvez acheter son « e-book » le guide métro de volontariat international », visiter son blogue et lire sur ses expériences.
• Workaway – Un site mis en place pour favoriser l’échange équitable entre les voyageurs à petit budget, échange pour apprendre la langue, de la culture locale avec des familles.
Pour terminer, rappelez-vous que vous être le maître de vos choix. Déterminez ce qui vous branche, ce que vous pouvez apporter… faites des recherches, lisez les infos deux fois plutôt qu’une, confirmez vos informations par le biais de témoignages d’anciens bénévoles et lancez-vous. Je suis certain que vous ne le regretterez pas et que ça deviendra vite une dépendance !
Gardez les yeux ouverts, les pieds sur terre, et « bien sûr, ne compromettez jamais votre sécurité. »
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