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Allo tout monde, bienvenue dans un autre épisode de Perdu en Asie un podcast qui célèbre l’amour de l’Asie et ses richesses : ses gens, ses paysages, sa culture et sa nourriture. N’oubliez pas de visiter notre page Facebook Getlostinasia et le groupe Francophone en Asie pour ajouter votre grain de sel à cette grande aventure. Le podcast est disponible un peu partout sur le web tant sur iTunes d’Apple, que sur « Tunein », sur « Stitcher », Podcast France et j’en oublie surement donc pas de raison de manquer une émission.
La vie passe vite quand on est heureux en Asie!
La vie passe vite quand on est heureux en Asie!
Désolé, je suis lent sur les mises à jour, car je prépare un nouveau projet qui sera, je l’espère un complément parfait à tous les efforts, rencontres et contacts que j’ai fait depuis le début de mon aventure asiatique en 2007. Malheureusement, je ne peux pas vous donner de détails, car beaucoup reste à faire. Vous allez aimer j’en suis sûr. Je vous promets que vous serez les premiers à entendre l’annonce officielle de ce nouveau projet qui m’allume un « max » depuis un bon bout de temps. Restez à l’écoute on prévoit qu’en septembre on sera fin prêt à faire l’annonce officielle.
« Spring break » éternel au Cambodge, visite de ses coins moins connus et Singapour 50 ans, mais bien des histoires à raconter.
Cet article et ce podcast est paru originalement sur Getlostinasia.com |
Cette semaine on ratisse large, on parle avec Chris, un ami de mon ami qui est venu chez moi à Singapour faire du « couchsurfing ». Ça nous a fait plaisir d’accueillir Chris dans la famille. C’était comme avoir un grand fiston en location pour 2 semaines. Tout a commencé par une demande d’ami Facebook. Après j’ai vu ses statuts FB en direct du Cambodge. Ça m’a fait bien rire de voir ses jeunes lâchés lousses dans un endroit où seulement la loi de la gravité et de la nature s’applique. On perd le nord facilement dans ces endroits quand on n’a ni femme ni enfants. Christ nous raconte son passage dans les célèbres endroits pour faire la fête au Cambodge, Koh Rong un petit paradis comme il l’appelle, Sihanoukville, mais aussi des classiques comme Siem Reap, les temples d’Angkor, des endroits moins connus comme Mondulkiri. Après il nous parle de sa visite à Singapour, et des ses découvertes notamment le zoo, le safari de nuit et l’ile de Sentosa.
Pour le reste, j’ai pensé faire un spécial Singapour à cause du 50ième anniversaire de sa création et de la mort de son plus grand architecte et fondateur Lee Kwan Yew.
Tous ces événements et le fait que c’est ma terre d’accueil, qui prend épouse prends pays n’est-ce pas. Ce jeune et prospère pays qu’est Singapour m’a convaincu de vous en reparler une fois de plus. Cette fois-ci, je fais une révision rapide de son histoire et des faits méconnus de la plupart d’entre-vous.
Il y’a plusieurs opinions divergentes, mais les résultats sont là. On ne fait pas d’omelette sans casser d’oeuf! Il y a surement des gens qui n’avaient pas la même vision qui ont été écarté c’est dommage, mais le bien de toute une nation a été priorisée et le taux de succès dans sa courte histoire est indiscutable.
Les meilleurs extraits textuels du retour de voyage de Chris sur le Cambodge et Singapour
On était 7 amis partis en Asie sur un coup de tête, 2 avaient des origines cambodgiennes alors on a atterri à Bangkok et pris un bus de nuit vers Phnom Penh sans perdre un instant.
Sihanoukville, sur la côte ouest du Cambodge, pour le jour de l’an avec les plages pleines de bars, les feux d’artifice durant toute la journée et toute la nuit. Il devait y avoir un 2/3 de touristes, des européens surtout. En fait, c’est surtout touristes et « expats » avec une petite partie de cambodgiens et le reste c’était des employés des business touristiques. Sur la plage principale, on sentait que les business étaient plus locaux, mais sur Otres Beach y avait beaucoup de touristes qui s’étaient ouverts une petite business, des français ou des anglais. Il y avait un gros bar qui appartenait à une française pas mal tout le staff était d’origine française. Donc Ostre c’est la plage populaire pour les étrangers qui coutent aussi plus chère. On peut toujours trouver des établissements typiquement cambodgiens, mais il y aussi un genre de mouvement « for us by us’ concentrer autour de Ostes.
L’ile de Koh Rong, un petit coin de paradis, c’est surtout pour faire la fête. Un « springbreak » éternel. Tu as des bars partout. C’est juste ça que tu fais. Tu te lèves, tu fais de la plage après ça tu as le BBQ puis ensuite tu as la boisson. Ce n’est pas un endroit pour être tranquille, apportez des Tylenols en quantité.
Ensuite on s’est séparé il y en a 2 qui sont partis s’entrainer en Thaïlande près de Phuket dans un camp de Muay Thaï. Dans mon groupe il y avait beaucoup d’amateurs de sport de combat, des boxeurs, un autre spécialisé dans le jiu-jitsu, il y a des gens qui voyagent en Thaïlande en partie pour la boxe et les arts martiaux. C’est pas juste du monde qui veut monter sur le ring ou qui suit la mode. Il y’a des gens que c’est tout l’esprit du sport qu’ils aiment. Les camps de boxe il y en a pour tous les gouts et les budgets du premium 5 étoiles avec le spa thermal aux camps rustiques typiquement thaïlandais bon marché.
J’avais le gout de voir autre chose, l’argent descend vite quand on fait la fête, et ce même si la boisson au Cambodge et plus qu’abordable. Après on s’est rendu à Siem Réap pour voir les temples d’Angkor inévitable bien sûr.
inévitable bien sûr.
Après on a visité les ‘killing Fields’ le musée du Genocide est très intéressant. C’est très dur émotionnellement. J’ai vu beaucoup de gens sortir en pleurant, ça reste vraiment intéressant d’un point de vue historique de voir comment ils faisaient ça tu as des tombes, avec environ 500 corps décapités qu’ils n’ont pas pu identifier. C’est bon dans le sens qui ça nous rappelle que ça existé et ça diminue la chance que ça se reproduise de nouveau.
Les drogues c’est risqué, surtout pour les jeunes les hommes, j’ai remarqué que c’est assez accessible quand même. Il y a surtout les « tuk tuk driver ». Il commence par vous offrir une “ride” bien sûr, ensuite si tu n’en veux pas, , ils te proposent des prostitués, après ça c’est là qu’il embarque dans la drogue puis y commence avec la marijuana après ça de la cocaïne, de l’opium qu’on entend beaucoup, du Ice, du chrystal meth et j’en passe. Premièrement c’est dangereux de se faire emprisonner et ensuite il n’y a rien qui prouve qu’ils ne revendent pas du poison à rat.
Je voudrais dire aussi de faire attention à tout ce qui est “happy cookies” ou “Magic Brownies” pour moi ou la plupart du monde qui viennent d’Amérique ça clair assez sûr que c’est fait avec du pot (marijuana), mais en fait la majorité du temps c’est de l’opium qu’ils mettent là-dedans ce n’est pas le même buzz. C’est beaucoup plus fort et ça peut-être dangereux. C’est surtout des hallucinations que j’ai entendu des témoignages des gens qui ont essayé ça
Mondulkiri trek, zzone rurale de la campagne, de la jungle, j’ai adoré mon expérience et c’est seulement des locaux. Tu n’as pas beaucoup de touristes souvent, ils vont faire un petit tour au temple et ils passent à autre chose. Ça vaut la peine sérieusement. Ils organisent des tours avec des éléphants tu ne peux pas les monter, mais tu marches avec eux dans la jungle, tu vas te baigner avec eux c’est plus éthique que bien d’autres treks en Thaïlande où on peut monter les éléphants. J’ai adoré et c’est un village d’une minorité. Ils ne parlent même pas le cambodgien. Cette activité est leur source principale d’argent. Ils ont même leurs propres règles à eux autre pour ne pas surexploiter leurs éléphants. Ils ont comme une limite de temps par jours et par semaine qu’ils peuvent les utiliser puis avant chaque tour ils vont les chercher dans la jungle alors ne sont pas enchainés, mais libres.
Je suis déçu, car à cause que j’étais malade je n’ai pas pu gouter au fameux crabe de Kep. C’est l’endroit pour le crabe au Cambodge. Le crabe au poivre avec le poivre de Kampot est renommé pour être très savoureux. Il faut que les gens viennent essayer ça. Ils vont pêcher le crabe dans la mer en face, ils le font cuire, puis c’est dans votre assiette.
Singapour ce fut intéressant, le forfait 4 parc dont le zoo de Singapour, le parc d’oiseau Jurong, le safari de nuit et le safari des rivières, j’ai bien aimé c’est sur que rendu au dernier j’étais un peu blasé.
Ce qui m’a frappé c’est toutes les religions, des gens de toutes les couleurs du plus blanc au plus noir c’est très intéressant. Des Indiens, des Chinois, des Malais, c’est le “fun” des les voir vivre en communauté tous ensemble. Par exemple au rez-de-chaussée des immeubles public il a des mariages Malais et des funérailles chinoises au même endroit.
À Singapour le couchsurfing est vraiment populaire, car même les auberges de jeunesse ou les guesthouse bon marché sont chers en bas de 25 $ pour un lit dans un dortoir tu n’as rien. Il y a même des gens qui vont dormir à l’aéroport pour sauver de l’argent.
En voyage en Asie il est bien de consulter des guides voyage comme le Lonely Planet, mais pour planifier l’Ensemble de son voyage le reste on planifie au 2 jours, car en Asie les horaires ne sont pas respectés à la lettre. Si vous planifiez votre itinéraire trop serré, vous aurez de mauvaises surprises.
Histoire de Singapour
Singapour, ça vous dit quelque chose, pourtant ce pays n’est même pas un adolescent si le compare à la vaste majorité des autres nations du globe. Le pays s’étend sur une maigre superficie totale mesurant seulement 273 miles carrés, mais elle est couronnée de succès.
Comment un si petit et jeune pays peut-il avoir autant de succès rapidement ? La réponse n’est pas simple. Elle contient plusieurs éléments, événements marquants, et une myriade d’acteurs de tous les horizons. Une époque pleine de rebondissements mener par un leader charismatique qui a su convaincre tout un peuple de le suivre, de tout laisser derrière et former sa propre nation.
Au bon temps au bon moment, tout était là, la géographie et l’histoire.
En fait, l’intérêt pour cette minuscule ile a commencé grâce à son emplacement stratégique sur la route principale vers l’Inde et la Chine. Les fameuses épices, la soie et autre denrée exotique ont poussé les pays explorateurs de Nouveau Monde a mettre un point sur la carte qui allait devenir Singapour.
Dans les années 1800, les flottilles des empires européens avaient déjà sillonné une grande partie du monde, imposant leur autorité sur grandes routes commerciales.
L’Asie du Sud-Est tenait une position enviable, car les vents transportaient les voiliers en provenance de la Chine en Asie du Sud, tandis que l’autre moitié des années favorisée navires en provenance de l’Inde et de l’Arabie. Les Anglais, les Néerlandais, les Portugais, les français et les espagnols, reconnaissant l’Asie du Sud-Est comme un bon endroit pour la négociation de marchandise exotique comme : le précieux thé, l’opium, la soie, les épices et autres marchandises en provenance de Chine et les environs.
Rapidement le Detroit de Malacca devient l’endroit a contrôler pour favoriser échanges de marchandise entre l’orient et l’occident. Le British East India Company et l’East Compagnie hollandaise des Indes se sont bagarrés pour posséder l’exclusivité du détroit de Malacca. Cet étroit passage entre l’ile indonésienne de Sumatra et la péninsule malaise. Ils avaient déjà un port à Penang, une île au nord du détroit, mais il se révèle un échec économique.
La société British East India chargea un de ses dirigeants, Sir Stamford Raffles de localiser un nouveau poste d’échange. Rafles, qui connaissait bien la région, avait déjà un emplacement rêver sur une petite île à la pointe de la péninsule malaise nommée Singapour.
L’histoire de Singapour réduite a sa plus simple expression commence avec un port placé a un endroit stratégique doublé du statut de libre-échange accordé par son fondateur visionnaire Sir Raffles. Cependant, alors que Sir Stamford Raffles a créé le cadre pour le début de la réussite de Singapour, c’est l’ancien premier ministre de Singapour Lee Kuan Yew qui a façonné le premier quart de siècle d’existence de Singapour en tant que nation indépendante et défini la voie de son succès actuel.
La fondation de Singapour moderne
À la fin de 1818, Les Britanniques étendent leur domination sur l’Inde et leur commerce avec la Chine était en pleine expansion. Il fallait un port d’escale pour revitaliser et protéger leur flotte marchande ainsi que pour éviter des avances consenties par les Hollandais dans les Indes orientales.
Le choix de l’ile Singapour est fait en 1819, Raffle et la British East India Company installent un poste de traite stratégique le long de la route des épices. Singapour devient l’un des plus importants centres commerciaux et militaires de l’Empire britannique de l’époque.
L’île est la troisième acquisition britannique dans la péninsule malaise après Penang (1786) et de Malacca (1795). Ces trois établissements britanniques (Singapour, Penang et Malacca) ont assuré le contrôle de cette importante voie navigable par l’Inde britannique. En 1832, Singapour est devenue le centre du gouvernement des trois postes Britaniques. Le 1er avril 1867, les établissements du « Straight » devinrent une colonie de la Couronne et ont été gouvernés par un gouverneur sous la juridiction du ministère des Colonies à Londres.
Origines mythiques de la ville Lion
De récentes études ont confirmé que les lions n’ont jamais vécu à Singapour, mais la légende veut qu’au 14e siècle le Price Sumatra ait observé une bête qu’il croyait être un lion (probablement un Tigre de Malaisie) à son débarquement sur l’île après un orage. Ainsi, le nom de Singapour vient des mots malais « Singa » pour lion et « Pura » pour la ville. Avant la colonisation européenne, l’île maintenant connue comme Singapour a été le site d’un village de pêche malaisien de plusieurs centaines des autochtones Oran Laut.
Des débuts modestes
Lors de sa découverte, Singapour était habitée par environ 1000 personnes, principalement des résidents malais, des Oran Laut (nomade des mers) une poignée de paysans chinois, plus les pirates assortis dans la clandestinité. L’ile possédait déjà un historique peu connu. L’ile appelée Temasek avait été visitée régulièrement par les marchands chinois, et plus tard elle fut sous la domination de l’empire Srivijaya qui a été fondé à Palembang, à Sumatra.
Le British East India Company arrive (1819-1827)
Lorsque Raffles est arrivé en 1819, Singapura dormait depuis près de 400 ans sous le règne du sultan de Johor, au sud de la province de la Malaisie, à l’administration était sous la charge d’un temenggong, ou un ministre senior. C’est d’ailleurs Abdu’r Rahman le ministre senior de l’époque qui a signé un traité avec Raffle permettant de mettre en place un poste de traite sur l’île en échange d’un paiement annuel au Sultanat. Après cela, Raffles n’est pas resté autour trop longtemps, il a remis la Résidence du port à son ami et collègue, le colonel William Farquhar.
Lorsque Raffles revient trois ans plus tard, Singapour a été en voie de devenir un succès. Le port idéalement situé a été inspiré par son propre rêve de Raffles de libre-échange et l’habileté de Farquhar à maintenir une administration ordonnée. La population avait augmenté à plus de 11 000 – Malais, Chinois, Bugis (de Célèbes en Indonésie), Indiens, Arabes, Arméniens, les Européens et Eurasiens. L’étalement anarchique convainquit Raffles de rédiger le plan d’urbanisme de 1822. Attribuant des quartiers spécifiques pour les nombreux groupes ethniques qui s’étaient installés . Ces enclaves ethniques restent encore les mêmes aujourd’hui. Le Chinatown de Singapour, le centre administratif ou « Historic District », « Kampong Glam », et d’autres quartiers sont encore les centres ethniques qu’ils étaient à l’origine (bien sûr, avec de nombreuses modifications modernes).
Ce fut le dernier voyage que Raffles fit sur l’île et celui qui lui attribuera sa fondation. Sa visite en 1822 n’était qu’une étape sur le chemin du retour à Londres pour prendre sa retraite. Rafles a initiés de grands projets durant sa carrière à la Compagnie des Indes orientales. Mais, il n’a jamais assisté à aucune de ses ambitions se concrétiser de ses propres yeux. En 1826, il est mort avant même d’avoir été reconnu pour le rôle qu’il a joué dans l’expansion de l’Empire britannique. Il est mort sans le sou. Il reste, cependant, un héros pour les Singapouriens modernes.
En 1824, les Néerlandais ont finalement signé un traité avec la Grande-Bretagne qui reconnaissait Singapour comme une possession britannique permanente, et le sultan de Johor Hussein céda l’île à tout jamais à la Compagnie des Indes orientales. Trois ans plus tard, Singapour a été constituée, avec Melaka et Penang, pour former le Straits Settlements. Penang a été reconnu comme le siège du gouvernement des colonies, avec la direction de la présidence du « Bengale » en Inde.
Les communautés immigrantes du début
40 premières années de Singapour ont été remplies de toute la magie d’un port de commerce oriental. Les Ouvriers « coolies » chinois sont venus à Singapour en masse pour échapper à des difficultés économiques à la maison. La plupart provenaient de l’un des quatre grands groupes de dialectes : Hokkien, Teochew, cantonais et hakka, en fait tout de la Chine méridionale.
Vivre dans des dortoirs de travailleur derrière les usines et entrepôt ont poussé ses immigrants a formés des sociétés secrètes, des organisations sociales et politiques constituées de résidents qui ont partagé des ascendances similaires dans leurs villes natales. Ces clans ont aidé les nouveaux arrivants à s’installer et à trouver du travail, échanger de l’argent et porter des messages à la famille des travailleurs en Chine.
Bizarrement, c’est la contribution de ses sociétés secrètes (jeu de hasard, la criminalité de rue, et la violence) qui a contribué à alimenter l’image de Singapour en tant que ville sans loi, remplie de toute l’excitation et le danger d’une ville frontière dans le Far West américain.
Entourés de possibilités infinies, de nombreux immigrants chinois ont trouvé un grand succès et construit d’énormes fortunes en tant que commerçants ou hommes d’affaires. Les Indiens n’ont pas tardé à devenir la deuxième plus grande communauté de Singapour. La plupart étaient des commerçants ou des ouvriers, mais beaucoup d’autres étaient des immigrants amenées avec les Britanniques. La plupart venaient du sud de l’Inde, de la population majoritairement tamoule, y compris les prêteurs, les Chettiars musulman qui ont financé la construction de plusieurs lieux de culte dans les premiers quartiers.
Après 1825, les Britanniques ont remis la possession de Bencoolen de Sumatra aux Hollandais, transférer les milliers de prisonniers indiens pour les incarcérés à Singapour, où ils ont été mis à profit sur la construction des bâtiments et pour défricher des terres. Après la fin de leur peine, beaucoup sont restés à Singapour pour excerser leur métier en tant qu’hommes libres.
Les Années Boomtown (1827-1942)
Malgré les premiers succès, Singapour était presque entièrement dépendante du commerce d’entrepôt, qui était littéralement à la merci des vents. La puissance commerciale néerlandaise menaçait encore sa santé économique, et l’ouverture des ports de commerce chinois aux navires occidentaux a placé Singapour dans une situation précaire.
Le sol de l’île à peine soutenu une petite industrie de sagou. Le sagou est une fécule alimentaire extraite de la pulpe du tronc du sagoutier (un type de palmier). Il n’offre ni protéines, ni graisses, ni vitamines ni minéraux. Avec le manque de ressources naturelles, Singapour eut à chercher constamment à faire du commerce pour sa survie. La vraie stabilité économique n’arriveras pas jusqu’à ce que les années 1860. Des changements majeurs dans le monde entier dans la seconde moitié du 19e siècle ont eu un effet énorme sur Singapour. En 1869, le canal de Suez a ouvert, reliant la Méditerranée et la mer Rouge et la mise à Singapour dans une position privilégiée sur la route Orient Europe Asie. En outre, Voyage de bateau à vapeur a fait le voyage à Singapour moins dépendante des alizés. Le temps de Voyage plus court et une économie plus dynamique a propulsé Singapour vers de nouveaux sommets, mais a également permis vacanciers à envisager de Singapour un arrêt viable sur leur itinéraire.
L’éclosion de la révolution industrielle amène une grande demande de matières premières, à savoir l’étain et le caoutchouc. La Malaisie était déjà productrice d’étain, dont une grande partie était marchandée à Singapour. Le caoutchouc n’est pas entré la scène jusqu’à 1877, lorsque « MAD » Henry Ridley, directeur des jardins botaniques, a clandestinement ramené les premiers plants de caoutchouc du Brésil à Singapour. Après avoir développé une nouvelle façon d’exploiter le latex, il a finalement convaincu les planteurs en Malaisie de commencer les plantations. À ce jour, le caoutchouc reste une industrie importante pour la Malaisie.
La rareté des ressources
Le commerce Entrepôt est le terme donné lorsque les produits importés sont traités, classés et reconditionnés, puis exportés à un de nouveaux clients. Pour une ville rare en ressources comme Singapour, le commerce entrepôt a été une bouée de sauvetage : dans la fin du 19e siècle, Singapour était le plus grand centre d’étain de fusion du monde. Aujourd’hui Singapour est le troisième plus grand raffineur de pétrole avec l’importation de pétrole de la Malaisie et de l’Indonésie.
Seconde Guerre mondiale
Bien que les Britaniques ont maintenu une base militaire sur l’île, Singapour était pratiquement restée intacte par la Première Guerre mondiale. Cependant, Juste avant la Grande Dépression, la Grande-Bretagne a cédé aux pressions des États-Unis et a rompu les relations avec le Japon en raison des derniers de l’augmentation de sa puissance militaire. La défense de Singapour est devenue une préoccupation majeure. Cependant, les Britanniques, croyant que toute invasion viendrait par la mer ont installé une artillerie lourde le long de la côte sud, laissant le nord de l’île pratiquement sans protection.
Les Japonais envahissent l’ile
En 1941, dans la nuit du 7 décembre, les Japonais attaquent Pearl Harbor. Ils ont envahissent les Philippines et Hong Kong. Ils débarquent dans le sud de la Thaïlande, et a laissent tomber les premières bombes sur Singapour. Le lieutenant-général japonais Yamashita, émergeant de batailles en Mongolie, a vu un avantage certain dans le flanc nord non protégé de Singapour. Et il a furtivement déplacé trois divisions près de 20 000 soldats en bas de la péninsule malaise sur des bicyclettes. Dans la soirée du 8 février 1942, l’armée japonaise envahit l’île tranquillement. Les Britanniques ont essayé de tenir à distance leurs agresseurs, mais c’est peine perdue. En quelques jours, les Japonais s’emparent de toute l’ile.
L’occupation amène des conditions terribles à tous les habitants de Singapour.
Les Japonais jugent et punissent sévèrement sur n’importe quel doute dissidence avec de la prison ou pire. Les exécutions en masse étaient monnaie courante, les prisonniers de guerre ont été torturés et tués. Il a été dit que les plages de Changi étaient souvent rouges de sang. Certains prisonniers qui ont survécu ont été envoyés en Thaïlande pour travailler sur le chemin de fer. Les conditions y étaient pires pour les Chinois de l’île, dont beaucoup ont été arrêtés sans discrimination simplement à cause de leur appartenance ethnique, amenée en haute mer et jetée par-dessus bord.
Pendant ce temps, peu d’informations du monde extérieur se rendent sur l’ile. Il ne reste que la propagande japonaise pour tous les citoyens de Singapour. La pauvreté, la maladie et la famine sont devenues une réalité quotidienne. Heureusement, la capitulation japonaise est venue avant que Singapour devienne un champ de bataille une fois de plus.
Les années d’après-guerre
Une fois de plus sous la domination britannique, Singapour a passé les 10 années suivantes à se revitaliser, tandis que les efforts pour devenir une nation pleinement autonome commencent à prendre de l’importance. Les conditions de vie étaient terribles et la nourriture était rare. Les Britanniques ont aidé à la reconstruction postoccupation. Ils ont nettoyé le port et l’on retourner au contrôle civil, on restaurer les services publics et aider a reformer la force de policière. Toutefois, le ressentiment contre les Britanniques a été très fort pour la façon dont ils avaient perdu l’île aux Japonais en 1941.
En 1949, Lee Kuan Yew, un chinois originaire du Straight de Malacca et un étudiant en droit à Cambridge, a formé un groupe de discussion à Londres visant à rassembler les étudiants de Malaisie outre-mer. À son retour à Singapour, son éducation terminée, Lee se fait un nom pour lui-même comme un avocat par son efficacité dans la salle d’audience. Au même moment, les Chinois en Malaisie formaient le Parti communiste Malaya, inspiré par la rupture de la Chine continentale à partir puissances hégémoniques occidentaux, comme un chemin vers l’indépendance nationale. Bien que Lee secrètement détestait le politique communiste, il a reconnu la force de leur nombre. Soutenu par les communistes locaux, il a formé le Parti d’action populaire (PAP).
En 1957, la Malaisie a accédé à l’indépendance, et Singapour a été accordé la permission d’établir sa propre Assemblée législative de 51 siège entièrement élue. Dans les premières élections, en 1959, le PAP populaire a balayé 43 des sièges et Lee Kuan Yew est devenu le premier premier ministre de l’état ville. Ce n’est qu’après son élection qu’il est devenu évident que la politique de Lee n’était pas en conformité avec les idéaux communistes.
Après les élections, le souhait était de voir Lee, Singapour et la Malaisie s’unir comme une seule nation, mais le gouvernement malais avait peur de l’influence chinoise dominante de Singapour et a lutté pour garder la ville État en contrôle. En 1963, cependant, ils les relatent ont été rompus et Singapour retirer en tant que membre. Ce fut un mariage de courte durée. Lorsque le PAP a commencé à étendre son influence dans toute la Malaisie, le nouveau syndicat a été rebaptisé, ce dernier est devenu méfiant et a exigé de Singapour d’être expulsé. Le 9 août 1965, Singapour devient un pays entièrement indépendant. Dans une Émission de télévision Lee en Lee en larmes, annonce l’expulsion de Singapour de la Malaisie et le gain simultané de l’indépendance. Ce moment de l’histoire reste l’un des plus célèbres de l’histoire de Singapour. En 1971, les dernières forces militaires britanniques ont quitté l’île.
Avec l’indépendance est venu un avenir sombre avec des perspectives économiques précaires. La séparation de la Malaisie a entraîné la perte économique de Singapour, et la politique de l’Indonésie de la confrontation militaire dirigée envers Singapour et en Malaisie avait séché l’entrepôt de cette direction. Singapour a également fait face à la perte de 20 pour cent de ses emplois avec l’annonce du départ de la Grande-Bretagne à partir de ses bases militaires sur l’île en 1968.
Road to Success
Au lieu de démoraliser avec ses problèmes Singapour, motiver par la direction de ses dirigeants se concentre sur l’économie de la nation. Avec l’avocat Lee Kuan Yew instruits à Cambridge à sa tête, le gouvernement singapourien a été agressif dans la promotion axée sur l’exportation, l’industrialisation du travail extensif à travers un programme de mesures incitatives pour attirer les investissements étrangers. Après tout, Singapour avait encore son emplacement stratégique à son avantage.
En 1972, un quart des entreprises manufacturières de Singapour étaient soit des sociétés sous contrôle étranger ou de coentreprise, et les États-Unis et le Japon étaient les principaux investisseurs. Par la suite le climat politique stable de Singapour amène des conditions favorables à l’investissement et à l’expansion rapide. De 1965 à 1973, le produit intérieur brut du pays (PIB) a connu une croissance annuelle à deux chiffres.
Avec le boom économique de la fin des années 1960 et 1970, de nouveaux emplois ont été créés dans le secteur privé. Les dispositions du gouvernement pour les logements subventionnés, l’éducation, les services de santé et les transports publics ont généré de nouveaux emplois dans le secteur public.
À la fin des années 1970, le gouvernement a changé son orientation stratégique pour les compétences à forte intensité technologique, les industries à forte valeur ajoutée et à l’écart de la fabrication de main-d’œuvre. En particulier, la technologie de l’information a été prioritaire pour l’expansion et Singapour qui est devenue le plus grand producteur au monde de lecteurs de disques et pièces d’entraînement de disque en 1989. Dans la même année, 30 pour cent du PIB du pays était dû à des gains provenant de la fabrication.
Les services financiers internationaux et de Singapour étaient et sont toujours un des secteurs à plus forte croissance de son économie qui représentent près de 25 pour cent du PIB du pays à la fin des années 1980. Dans la même année, Singapour classé avec Hong Kong comme les deux centres financiers asiatiques les plus importants après Tokyo. En 1990, Singapour a accueilli plus de 650 entreprises multinationales et plusieurs milliers d’institutions financières et les sociétés de négociation. Sur le front politique, Goh Chok Tong a réussi a bien succéder à Lee Kuan Yew et en 2004, Lee Hsien Loong, le fils aîné de Lee Kuan Yew, est devenu le troisième premier ministre de Singapour.
Identité singapourienne
Sur 5.312.000 Singapouriens, 3.285.000 sont des citoyens de Singapour et environ 533.000 sont résidents permanents de Singapour. Chinois, Malais et les Indiens comprennent les trois groupes ethniques officiels dans le pays. Avec une population multiethnique, la direction du pays envisageait une identité singapourienne qui appelle à « l’individualisme farouche avec un accent sur l’excellence ».
Bien que physiquement petite, Singapour est un géant économique. Elle a été une des villes les plus modernes d’Asie du Sud depuis plus d’un siècle. La ville mêle malais, chinois, Indiens, Arabes et brittoniques dans un mélange grandiose de culture et de religions. Sa tapisserie originale et ethnique offre aux visiteurs un large éventail de visites et de possibilités culinaires parmi lesquelles choisir.
Un calendrier complet des fêtes traditionnelles et les fêtes célébrées tout au long de l’année ajoutent à son attrait culturel. En outre, Singapour propose des hôtels de luxe, une cuisine délicieuse et du Shopping à perte de vue!
Le pays comprend l’île de Singapour et 58 plus petites îles. En raison de son gouvernement efficace et déterminé, Singapour est devenue un pays florissant qui excelle dans le commerce et le tourisme et est un modèle pour les pays en développement. La capitale, appelée aussi Singapour, couvre environ un tiers de la superficie de l’île principale.
En ville, il n’y a pas besoin d’une voiture. Le transport public est excellent et la marche est un bon moyen d’explorer la ville, mais n’oublier pas une ombrelle et de l’eau en quantité, car sur l’heure du midi la chaleur est accablante. Toutes les principales attractions sont également accessibles en bus de tournée. Depuis la ville est à seulement 60 miles (100k) de l’équateur, les températures tropicales ne varient pas beaucoup. Les précipitations sont réparties assez uniformément au courant de l’année. Le visiteur est immédiatement frappé par l’abondance de Singapour de parcs, réserves naturelles et luxuriante végétation tropicale.
Les progrès de Singapour au cours des trois dernières décennies ont été remarquables, mais l’île n’a pas été submergée par le développement. Les visiteurs pourront découvrir une multitude de trésors historiques du passé, dans la beauté de bâtiments anciens, valeurs et traditions qui ont survécu dans le visage de profond changement social et géographique.
Faute de ressources naturelles remarquables, la prospérité début de Singapour a été basée sur une politique de libre-échange vigoureux, aujourd’hui l’État bénéficie deuxième port le plus achalandé au monde après Rotterdam, le chômage minimal, et une infrastructure super efficace. Presque toute la population vit dans de nouveaux appartements haut de gamme, et le revenu moyen par habitant est supérieur à US 12 000 $. Singapour est un endroit propre, sûr à visiter, ses équipements sont incomparables et ses lieux publics sont sans fumée et hygiénique.
Le noyau du centre-ville de Singapour est formé par le quartier colonial. Chaque enclave environnante a sa propre saveur distincte, dans les magasins d’épices aromatiques de Little India, aux ruelles délabrées de Chinatown, où il est encore possible de trouver des calligraphes et des diseurs de bonne aventure, ou du quartier arabe, dont les magasins encombrés vendre draps fins et les soies.
Au nord de la ville, sont deux réserves naturelles, Bukit Timah ainsi dont les magnifiques jardins zoologiques de Singapour et son immense jardin botanique. La côte est dispose de bons restaurants de fruits de mer fixés sur de longues étendues de plage de sable. En outre, il ya plus de cinquante îles et îlots dans les eaux de Singapour, qui peuvent tous être atteints avec des degrés variables de facilité.
Excursions sont populaires à Sentosa, l’île d’attractions qui est liée à la côte sud, par une courte chaussée et du téléphérique. Musique, théâtre, vie nocturne : tous sont abondants dans cette ville remarquable. Singapour doit être considérée comme une « escale » sur le chemin de grandes villes asiatiques.
Les visiteurs cherchent à Singapour pour les affaires et la finance, ainsi que pour des vacances fascinante et satisfaisante pour toute la famille.
Singapour est à la fois une île et un pays, mais peut-être sa meilleure description est celle de la cité État. Comme les grandes cités états du passé, il offre la civilisation et de l’ordre au plus haut degré. Sa combinaison du développement de style à l’occidentale et Orientale semble présenter le meilleur des deux hémisphères : c’est un centre d’affaires asiatique qui est un modèle d’efficacité. Singapour est également une ville multiculturelle, et près d’un quart de sa population est des expatriés ou des travailleurs étrangers de partout dans le monde. Connu pour sa volonté de devenir la plaque tournante de la technologie de l’Asie, Singapour est le pays le plus câblé dans la région.
Profiter du cinquantième pour venir expérimenter ce qu’un pays a pus réalisé malgré ses différences culturelle et religieuse. Partie de ruelle boueuse a l’odeur de souffrance et maladie laissée par l’occupation japonaise de la fin de la Deuxième Guerre mondiale a une des villes les plus vertes et florissante d’Asie.
Lee Kuan Yew citations mémorables
Sur son style de gouvernement :
Quiconque décide de me prendre sur les besoins de mettre des poings américains. Si vous pensez que vous pouvez me blesser plus que je peux vous faire du mal, essayer. Il n’y a aucune façon, vous pouvez gouverner une société chinoise. »
Si vous êtes un fauteur de troubles … c’est notre travail de vous détruire politiquement … Tout le monde sait que dans mon sac, j’ai une hache. Tu me prends en souricière, je prends ma hache, nous rencontrons dans le cul-de-sac « .
Lee annonçant la séparation de Singapour de la Malaisie le 9 août, 1965,
Pour moi, c’est un moment d’angoisse. Toute ma vie, toute ma vie d’adulte, j’ai cru en fusion et l’unité des deux territoires.
Sur l’ingérence du gouvernement :
On m’accuse souvent de m’ingérer dans la vie privée des citoyens. Oui, si je n’avais pas fait cela, nous ne serions pas ici aujourd’hui. Et je dis, sans le moindre remords, que nous ne serions pas ici, nous n’aurions pas fait des progrès économiques, si nous n’étions pas intervenus sur des questions très personnelles – qui est votre voisin est, comment vous vivez, le bruit que vous faites ou la langue que vous utilisez. Nous décidons ce qui est juste. Peu importe ce que les gens pensent.
En cas de décès :
Il y a une fin à tout et je veux que la mienne vienne aussi rapidement et simplement que possible. Pas dans l’incapacité à moitié dans le coma dans le lit et avec un tube d’entrer dans mes narines et le bas pour mon estomac.
Même de mon lit de malade, même si vous allez m’abaisser sur ma tombe et je sens que quelque chose ne va pas, je vais me lever.
Sur sa politique de Smart Baby :
Si vous n’incluez pas vos femmes diplômées dans votre piscine de reproduction et vous les laisser sur le plateau, vous finiriez avec une société plus stupide. Donc ce qui arrive ? Il y aura des gens moins vifs pour aider les gens muets dans la prochaine génération. C’est un problème.
Sur la religion :
Je ne voudrais pas me considérer comme un athée. Je ne nie pas ni accepte qu’il ya un Dieu. Donc, je ne ris pas de gens qui croient en Dieu. Mais je ne crois pas nécessairement en Dieu – ni nier qu’il pourrait y avoir une ».
Sur l’islam :
Je dois parler franchement d’être et de valeur, mais je ne veux pas offenser la communauté musulmane. Je pense que nous progressions très bien jusqu’à ce que la montée de l’Islam soit venue, et si vous me demandez mes observations, les autres communautés ont une intégration plus facile amicale,avec des intermariages et ainsi de suite. Tandis que les musulmans c’est plus difficile. Je dirais, aujourd’hui, nous pouvons intégrer toutes les religions et les races, sauf l’islam.
Faits suprenant sur Singapour
Vous pouvez trouver l’hymne national en microtexte sur le dos de la note de 1000 $.
Il n’y avait pas de lions dans cette ville du Lion
Singapour est l’une des trois cités états dans le monde avec Monaco et Rome.
Singapour a changé son fuseau horaire six fois depuis 1905
Singapour ne se compose que d’une île principale et de 63 autres petites îles. La plupart de ces îles sont inhabitées.
Singapour est parmi les 20 plus petits pays du monde, avec une superficie totale de seulement 682,7 kilomètres carrés. Les États-Unis est d’environ 15 000 fois plus grand.
En dehors de Monaco, Singapour est le pays le plus densément peuplé au monde, avec 6430 personnes par kilomètre carré.
Singapour est devenue le 117e membre des Nations Unies le 21 septembre 1965.
Symbolisme du drapeau national : Le rouge symbolise la fraternité universelle et l’égalité de l’homme tout en blanc signifie la pureté et de vertu. Le croissant de lune représente une jeune nation à la hausse et les cinq étoiles signifient les idéaux de la démocratie, la paix, le progrès, la justice et l’égalité.
Le Merlion, est une bête, mi-Poisson, mi-lion, c’est un symbole approprié pour Singapour. Le « Singa » ou lion représente l’animal qu’un prince de Sumatra a vu sur les berges qui ressemblait à un lion, et le poisson est un hommage à l’histoire de Singapour comme « Temasek », l’ancienne ville de la mer.
Singlish, un langage familier de Singapour mélange l’anglais avec la phrase impaire de chinois, malais et de tamoul.
Bien que l’anglais est la langue de travail officielle et la langue la plus largement utilisée à Singapour, l’hymne national « Majulah Singapura » est effectivement chanté en malais.
La roussette, la plus grande chauve-souris au monde avec une envergure jusqu’à 1,5 mètre, on peut être en trouvé sur Pulau Ubin, une des îles au large de la partie continentale de Singapour.
Premier zoo de nuit au monde, The Night Safari, est situé à Singapour.
En dépit d’être largement urbanisé, Singapour est le plus grand exportateur de poissons d’ornement (25 % du marché mondial).
La réserve naturelle de Bukit Timah à Singapour contient plus d’espèces d’arbres que l’ensemble du continent nord-américain.
Le point naturel le plus élevé à Singapour est Bukit Timah Hill, qui est à seulement 164 mètres de haut (Singapour a un terrain très plat).
Bâtiments à Singapour ne peuvent pas être supérieur à 280 mètres. Il ya actuellement trois bâtiments de cette taille : Centre OUB, UOB Plaza et la République Plaza.
La chute d’eau artificielle la plus élevée au monde, debout à 30 mètres, est située au Jurong Bird Park.
La plus grande fontaine du monde se trouve à Singapour à Suntec City. Fait de bronze coulé, il a coûté un montant estimé à 6,000,000 $ à construire en 1997.
Les bâtiments de Suntec City ont été aménagés dans la forme d’une paume de la main symbolisant bonne « feng shui ».
En 2003, l’aéroport Changi de Singapour a remporté le prix du « Meilleur aéroport dans le monde » pour la 16e année consécutive de l’édition au Royaume-Uni / Europe du magazine Business Traveller.
Le record du livre Guinness pour la plus longue chaîne de dominos humains a été créé à Singapour le 30 septembre 2000. Formé par 9234 étudiants, il mesurait 4,2 km.
Le domino mondial renverser enregistrement (303 621 hommes) a été créé à Singapour le 18 août 2003 par une femme de 24 ans originaire de Chine.
La Grande Course de canards de Singapour, un événement annuel qui recueille des fonds pour la charité, a établi un nouveau record du monde en 2002, lorsque plus de 123 000 canards de jouets ont emmené à la rivière Singapour.
Le film le plus gros succès de tous les temps à Singapour est Titanic, ratisser dans S $ 6,65 millions en 1997.
Plus Singapouriens sont nés dans le mois d’octobre que n’importe quel autre mois de l’année.
Près de 9 sur 10 Singapouriens vivent dans des appartements de logements publics.
Les noms de famille chinoise les plus courants à Singapour sont Tan, Lim et Lee.
Singapour a plus de 3000 km de routes. Bout à bout étirés, ils peuvent couvrir la distance de Singapour à Hong Kong.
8 personne sur 10 à Singapour téléphones cellulaires propres. En fait, les entreprises de télécommunications émettent de nouveaux numéros au taux de 30 000 à 40 000 par mois.
Meilleur résultat de Singapour aux Jeux Olympiques n’a jamais été une médaille d’argent remportée par l’haltérophile Tan Howe Liang à Rome en 1960.
Le Singapore Sling a servi la première fois en 1915 au Long Bar de l’Hôtel Raffles. Les ingrédients sont gin, Cointreau, cherry-brandy, Dom bénédictin, jus d’ananas, grenadine, amers et limes Angoustura.
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