Décidément, un vent positif souffle sur le Cambodge… Après Skateistan : Swinging Phnom Penh, un projet de web-documentaire au Cambodge sur le réveil de la scène artistique. Ils rencontreront des musiciens, danseurs, performeurs, peintres contemporains et urbains, qui tous à leur manière cherchent à s’émanciper du poids du passé.
Podcast: Play in new window | Download (Duration: 35:58 — 33.0MB)
On rejoint Éléonore quelque part dans le monde ?
Éléonore: À Paris. Swinging Phnom Penh ça sera un web-documentaire qui brossera une mosaïque de la scène artistique cambodgienne d’aujourd’hui, et donc on a fait rencontrer une danseuse qui a une formation de danseuse de ballets apsara traditionnels et qui a commencé à faire de la danse contemporaine, du hip-hop et qui mélange ses compétences, les différentes formes de danse classique avec de nouvelles formes actuelles. Il y a un groupe de rock, Cambodian Space Project, qui eux reprennent les standards du rock psychédélique cambodgien des années 60 qui était très florissant à l’époque et qui a complètement disparu pendant l’ère des Khmers rouges. Ils reprennent les standards et aujourd’hui, ils font de la musique originale. Ils font des tournées, ils commencent à être très connus au Cambodge et un peu ailleurs. Il y a aussi des street artists, Lisa Mam et Peap Tarr, qui vient de Nouvelle-Zélande mais qui est d’origine cambodgienne. Ils sont un peu les pionniers, les premiers graffeurs du Cambodge puisqu’ils peignent aussi en extérieur sur plusieurs murs de Phnom Penh, même s’il faut demander des autorisations parce que c’est vrai que ce n’est pas encore gros. Il n’y a pas encore cette culture de street art underground comme il y a dans les pays occidentaux, et même pas tous occidentaux, car il y en a beaucoup à Bangkok. Au Cambodge, c’est vrai qu’ils ne sont pas encore vraiment là-dessus…
Pour en savoir plus sur Éléonore et son web-documentaire, Swinging Phnom Penh, visitez les liens ci-dessous et écoutez le podcast en haut de cette page !
Alors, les noms des artistes c’est :
- la danseuse Belle
- les street artists Lisa Mam et Peap Tarr
- la peintre Sokuntevy Oeur
- la plasticienne performeuse Anida Yoeu Ali
- le photographe Kim Hak
- le documentariste Kavich Neang
- le spoken artist Kosal Khiev
- et le groupe Cambodian Space Project
+ d’infos sur le kiss kiss (y’a des liens sur des articles aussi dans les news de la page où j’ai détaillé des choses) :
http://www.kisskissbankbank.com/swinging-phnom-penh
+ notre blog :
http://www.swingingphnompenh.com/blog/
POST A COMMENT.
Vous devez vous connecter pour publier un commentaire.